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Traité de l’écrituref. G iv v°
re
vn’
amy'
entiér
aymé
d’
une
perfet
amour.
Et
quoÿ
:
ue
cefte
maniere
deſcrire
ſemble
eſtre
de
prime
face
eſtrâgesfieſt
elle
telle
que
la
faulte
de
bõne
lecture
ne
viẽdraque
de
l’
imperfecti6
du
lifant,
&
n6
pas
del’ef
criture.
Lęs
dęs.
Quant
aux
cofonantes
ie
treuue
que
les,
dgs,
es,
perdents,
quant
le
vocable
enſuyuãt
cõmence
par
cd-
fonãte,
come
quât
nous
difons
les
cõpaignons
de
guer
re
c̨s
quelz
lęs
Capitaines
ont
faict
dęs
dõs
font
lęs
mi-
eux
aguerriz,
Nous
deuõs
eſcrire,
[
le
]
lé
compaignons
de
guerre
c̨
quelz
le
capitaines
ont
faict
de
dons
fontle
micux;
agguerriz
:
Car
finous
pronõc̨ons
s
en
ces
mo-
noſyllabes,
la
prononciation
fera
vicicufe.
Briefilme
fuffft
de
vous
faire
entendre
la
vertu
del’Apoñtrophe
poür
vous
en
ayder
ainſi
que
la
pronõciation
vous
cõi
treindra.
Or
fault
il
entendre
qu’
elle
n’
a
point
de
lieu,
la
ou
il
entreuient
quelque
point
autãt
de
virgule,
que
|
de
fin
de
claufe,
Comme
quantnous
difonsvnefem=
|
imcbonne,
apprinſe,
&
ſage,
penſera
toufiours
de
fon
|
honneur.
Autrement
tu
ferois
vne
prononciation
cõ-
fuſe,
la
ou
elle
requiert
eſtre
diftincte
&
faite
quaſi
a2
|
uccq
quelque
pofes.
Notés
auſſi
queil,
&
elle,
apres
lé
verbe
terminé
ene
femenin
ne
fait
pas
perdre
le
ſon
|
il,
elle.
d’
e
cõme
quant
nous
difons,
ayme
il
ayme
clle
?
il
ſ’en
pourtoit
trouuer
d’
autres,
dont
la
prononciation
vous
deura
faire
fages
:
11
y
a
auſſi
quelque
fois
de
tour
de
{y
E
labe
entiere
comme
en
auez
,
&
fauez,
quantnousdis
|
fons
à’
vous,
fa'uous
,
pour
auez
vous,
fauez
vous,
que
|
poureuiter
tant
de
diuerſes
figuresic
trouueray
bõde
|
marquer
de
la
figure
de
l’
Apoñtrophe
:
d’
autit
que
ceft
vne
mefmé
ray
{o
n
de
detour
en
voix,
aff
fs
A
vng
ſeul
dieu
honneur
ploi